Monday, August 31, 2009

Melbourne, Melbourne, et Melbourne


Et bien le bonjour à tous! Encore une fois, je sais que je n’ai pas fait d’article de semaine, je sais que le blog est un peu en dedans en ce moment, mais je suis toujours là, pour vous raconter mes aventures, et mésaventures… Au programme cette semaine, Melbourne ! La semaine a d’ailleurs été seulement marquée par cet événement, et c’est pourquoi il n’y aura pas de partie prolongations cette semaine, exceptionnellement, rassurez vous. Allez, un petit article, une fois n’est pas coutume, mais un article quand même.


Melbourne, et plus particulièrement l’événement « Taste of Melbourne » a donc été mon lieu de travail pendant quatre jours cette semaine. Le Lemon était convié à cette manifestation annuelle, au sein de laquelle tout tourne autour de la nourriture. Dans un grand et sublime bâtiment, style 18ème, était réuni une centaine de stands pour quatre jours de bouffe. Et au milieu de tout ça, le Lemon ! Nous sommes arrivés, avec Tiziana, une allemande avec qui je bossais ce week end, jeudi matin. Nous avons posé nous affaires à l’hôtel, puis direction le festival ! Rocky m’explique qu’on sera très busy ce week end, qu’on risque d’avoir énormément de monde, mais qu’on risque donc de faire beaucoup d’argent, ce qui est surtout bien pour lui. Nous installons donc tout le matériel, et nous ouvrons ce jeudi, avec un citron rempli à ras bord, comme rarement je ne l’ai vu rempli ! Et pourtant, ce jeudi soir est bien calme. Peu de clients, peu de boissons vendues, pas un très bon souvenir. Nous faisons pourtant des cocktails pour cet événement, ce qui signifie que nous vendons de l’alcool, ce qui est assez rare pour être signalé ! Les bouteilles de Vodka, Rum, Cachaca ou encore Gin ne demandent qu’à être vides, mais les ventes stagnent. Alors, le lendemain, nous espérons faire mieux. En sortant du boulot, nous allons au restaurant avec Ziad, venu de Sydney également pour assister à l’évolution du Lemon. C’est d’ailleurs lui qui régale en ce premier soir, avant qu’il retourne à Sydney le lendemain, pour affaires personnelles. Je trouve un peu dommage qu’il ne soit pas resté davantage, mais bon, je n’y peux rien ! Nous parlons pendant le repas de la journée qui vient de s’écouler, en espérant tous que celle du lendemain sera meilleure. Et le vendredi sera bien meilleur. Nous avons deux horaires pour vendredi et samedi, qui sont 12-16 et 17.30-21.30. Le « matin » est assez calme, mais la soirée devient folle. Nous voilà enfin lancé. Nous sommes trois, avec Rocky, dans le Lemon, et ça tourne plutôt pas mal. Les Pina Colada, Mojito ou Capirinha deviennent populaire et les ventes flambent. Enfin du chiffre, ca fait plaisir ! Nous finissons la soirée sur les coups de 22H, après avoir tous bien bossé. Il est l’heure d’aller diner. Ce soir, Rocky nous emmène dans un petit restaurant italien où je peux déguster de bonnes cannellonis. Et samedi promet d’être le jour le plus busy.
Pour se faire, Rocky a demandé à son neveu de venir de Sydney. Adriano, c’est son nom, nous rejoint donc le matin, et tout de suite le courant passe bien. Je ne travaille d’ailleurs qu’avec lui la première demi journée, avant que Tiziana nous rejoigne l’après midi. De 12.16H, Adri et moi sommes vraiment busy, on envoi du bois comme on dit dans le jargon, et ça fait des cocktails dans tous les sens ! La soirée en sera de même, et la fin de journée est excellente. Après quoi nous rejoignons cette fois-ci un grec pour y diner quelques kebabs agréables. Enfin, dimanche, dernier jour, déjà ! La journée ne dure que cinq heures. Elle sera assez agitée, les trois premières heures, puis calme. Le problème est que Rocky avait prévu énormément de stuff pour cet événement, donc certains périment vite, comme les fraises. Alors, je lui propose, pour rigoler, de vendre ses barquettes de fraises. Lui ne plaisante pas, m’amène un tonneau énorme, et me dis, maintenant, tu vends les fraises ! Le truc, c’est qu’on doit avoir une centaine de barquettes. Mais je m’exécute. D’ailleurs, il dit que si j’en vends la moitié, j’ai le droit de diner ce soir ! Si je vends la totalité, Tiziana et Adri peuvent manger également. Et bien, je ne pensais pas que ça irait aussi vide. A peine vingt minutes plus tard, plus de fraises ! Il faut dire que je vendais la barquette 1€, ce qui est assez ridicule comme prix. Puis je faisais des deals intéressants, donc j’ai tout vendu rapidement. J’ai eu le droit à mon diner ! Mais avant cela, il a fallu tout nettoyer, tout remettre en place, et fermer le Lemon. Puis, nous avons dit au revoir à l’événement. En partant, Rocky attrape des bouteilles de champagne qui trainaient dans le couloir, ce qui nous fait du Moët et Chandon gratuit, trois bouteilles ! Nous en buvons deux avec Adri, puis partons diner ! Ah oui, j’avais oublié de vous signaler quelque chose de marrant. Nous étions donc cinq, et Rocky est venu en van, car il fallait trimbaler le Lemon. Sauf que dans un van, y’a trois places ! Donc Adriano et moi étions à l’arrière, dans le coffre, pendant … une heure ! Une heure plus tard donc, nous voilà au casino, où nous allons diner ce soir ! Rocky, pour fêter la fin de l’événement, offre un superbe buffet à tout le monde. Je ne me souviens pas avoir autant mangé de toute ma vie ! Enorme ! Sur les coups de 22H, les filles, à savoir Tiziana et Kerrin, la femme de Rocky, rentrent à l’hôtel en taxi. Rocky et Adriano m’embarquent au casino… Direction le poker ! Nous jouons pendant trois heures environ. J’ai perdu ma première mise, Rocky m’en a payé une seconde, et j’ai réussi à gagner assez pour lui rembourser, tout le monde était donc content. Il est 1H00 et nous rentrons enfin. Mais sur le chemin, nous faisons un saut au black jack, histoire que Rocky gagne 500$ en dix minutes ! J’étais sur les fesses ! On sent qu’il aime jouer par contre, car il n’arrive jamais à se contrôler ! Puis, cette fois nous rentrons. Nous nous perdons plusieurs fois, et le casino, situé à environ cinq minutes de l’hôtel, nous parait tellement loin que nous mettons une heure à trouver l’hôtel ! Mais on a bien rigolé, et si j’analyse cette journée du dimanche, c’était l’une de mes meilleures en Australie. La nuit était courte, et le lendemain, place à une visite de Melbourne avant de prendre l’avion. Mais comme on était lundi, vous saurez tout ça la semaine prochaine !

Pour le reste, pas grand-chose à signaler. Faut dire que je suis parti jeudi matin de bonne heure à Melbourne, donc je n’ai pas fait beaucoup d’activités exceptionnelles entre lundi et mercredi. Je vais désormais pouvoir reprendre mes activités « Découvrons Sydney » dès mardi ! Je ne sais pas où j’irai, mais il y a encore tellement de choses à découvrir ici que je n’ai pas de temps à perdre ! En attendant, le Psg carbure encore, et ça, c’est bien l’essentiel !

Thursday, August 20, 2009

Ka mate Ka mate...

Bonjour à tous! En direct de Sydney, bah oui, je ne vois pas pourquoi ce serait dans un autre endroit, je vous écris le résumé hebdomadaire que vous attendez tant! Qui plus est, je n’ai pas fait d’article intermédiaire cette semaine, alors je dois me rattraper en ce lundi 24 août. Au programme cette semaine, une nouvelle visite complète de la ville avec des amis, un match de rugby tonitruant, mais aussi deux départs, et un retour. Allez, un verre de scotch dans la main gauche, la souris pour faire défiler le texte dans la main droite, et c’est parti ! Bonne lecture !

Le truc mieux de la semaine : Le rugby, le vrai
Mercredi après midi, me baladant dans les rues de Sydney, je passe devant la boutique Ticketeck de la ville. Cette grande boutique où se vendent les tickets pour les différents événements du pays, qu’ils soient sportifs, sociaux-culturels, ou musicaux. Je rentre donc dans la boutique, pour savoir, par simple curiosité, s’il reste des places pour le choc de samedi soir opposant les Wallabies d’ Australie aux All Blacks de Nouvelle Zélande. Le monsieur de l’accueil m’annonce qu’il n’en reste pas des masses, et m’en propose une. J’hésite, disons un quart de seconde, et accepte sa requête. Je sors de Ticketeck tout content, je vais voir un gros match, et surtout, je vais voir les Blacks. Samedi soir donc, Simon, Florent et Charlotte, qui se rendent également au match, me rejoignent à Central Station. Nous prenons le train, bondé comme jamais, tout de noir et de jaune. J’y vais pour ma part vêtu d’un immense drapeau australien. Le nombre de supporters blacks est déjà très impressionnant. En arrivant sur place, la foule se fait très dense, l’endroit à l’odeur des grands soirs. L’Olympique Park de Sydney, et plus particulièrement son ANZ Stadium, accueille le choc que tout le monde attend depuis des semaines. Ce match des Tri-nations n’est pourtant pas celui pour la gagne, puisque l’Afrique du Sud, qui est l’autre pays jouant ce tournoi, est largement en tête, et quasiment sûr de l’emporter. Mais rivalité oblige, il y a un enjeu réel. En pénétrant dans le stade, vingt minutes avant le coup d’envoi, l’atmosphère est bonne. Il règne une ambiance particulière. Je suis seul dans les tribunes, mes collègues français ayant achetés les places bien avant moi, nous n’avons pas pu être assis ensemble. Peu importe, je suis entouré par des blacks et des wallabies de partout. Les hymnes arrivent enfin. Celui de la Nouvelle Zélande est très repris, ce qui prouve que les coéquipiers de Carter auront des supporters nombreux ce soir. Celui de l’Australie prend la suite, il est beau et agréable à entendre. Le match est lancé ! Carter, le génial numéro 10 de cette légendaire équipe va pouvoir donner le coup d’envoi. Sauf que, avant, il y a LE rituel. LE moment que tout le monde attend impatiemment ! Le Haka !
L’espace d’une trentaine de seconde, le stade retient son souffle. Les appareils photos enregistrent, les yeux ne clignent plus, les cœurs battent à la vitesse des paroles de Richie McCaw, le capitaine, et meneur du Haka. Impressionnant moment de respect, pour des seigneurs. Soudain, une immense clameur descend des tribunes. Les guerriers blacks ont terminé les mains sur les cuisses, prêts à en découdre. Messieurs, place au spectacle ! Du spectacle, il n’y en aura que très peu en première période, malheureusement. Les néo-z multiplient les fautes au sol, et Matt Gitteau, le buteur maison australien se charge d’enquiller les points pour permettre à son équipe de mener 12-3 à la pause, soit un avantage conséquent. Mais Graham Henry, le sélectionneur des champions du Monde 1987 trouve les mots justes. Son équipe redevient conquérante lors du second acte, le jeu léché est retrouvé, et après un amour de feinte de Roccococoko, Nonu marque le seul essai de la rencontre à moins d’un quart d’heure du terme. Mais les Wallabies reprennent rapidement l’avantage, 18-16 et il reste moins de cinq minutes à jouer. Une faute des locaux permet alors à Carter, encore lui, de passer le ballon entre les perches pour trois points salvateur. Malgré un dernier sursaut d’orgueil, les jaunes s’inclinent 19-18. C’est souvent comme ça le rugby au final. Deux équipes, mais les blacks l’emportent souvent. Alors, ce soir, la logique est finalement respectée. En sortant du stade, je ressens une fierté, celle d’avoir vu les légendaires blacks, et leur non moins célèbre Haka. Finalement, cette virée à l’ANZ Stadium avait du bon. Même si, pour la troisième fois en trois matchs, l’équipe que je supportais s’est inclinée. Mais peu importe le score, pourvu qu’on ai l’ivresse…

















Le citron de la semaine : Un jour ? Comment ça un jour ?
Cette semaine, le temps était absolument superbe. Après avoir bien bossé la semaine d’avant, j’ai eu les jours suffisant pour profiter des rayons de soleil puisque je n’ai travaillé que … un jour ! C’est peu, mais c’est comme ça. Heureusement, Chinatown est toujours là ! C’est dans cette belle ville chinoise que j’ai donc du me rendre pour faire tourner mon citron, vendredi soir. Je commence à avoir quelques habitudes là bas. On commence à connaitre les gens, il y a des clients réguliers, on sait quasiment exactement quand on sera busy, quand ce sera calme, les petites choses comme ça. D’ailleurs, c’était relativement calme. A croire que le show proposé par Miss Japon-Australie proche du Lemon Bar n’a pas séduit grand monde. Et bien qu’elle retourne au Japon alors celle-là ! Tout cela pour donc vous expliquer que la soirée était bien calme. Mais cette semaine nous partons avec le citron à Melbourne pour quatre jours. Ca va être sympa !

Les autres actus de la semaine : Bertrand et Aurélie, les visiteurs
Durant mon séjour aux Iles Fidjis, je vous avais raconté que j’avais fait la rencontre d’un couple de français, Bertrand et Aurélie. Dimanche, j’apprends qu’ils viennent à Sydney pour cinq jours, avant de rentrer en France. Ce n’était pas du tout prévu à la base, mais quelques aléas les ont amenés à venir séjourner dans « ma » belle ville. C’est donc avec plaisir que je leur ai fait découvrir quelques endroits sympathiques de la ville. Une longue marche de Cogee à Bondi lundi, Watsons Bay mardi, Royal Botanic Garden et Circular Quay mercredi, du shopping jeudi, avant qu’ils s’envolent vendredi. Ca fait du bien de faire ces tours avec des gens qui découvrent, je me mets presque dans la peau d’un guide, je me sens un vrai Sydney sider ! Nous avons pu profiter du beau temps pour faire toutes ces activités, et je pense qu’ils ont apprécié ce tour guidé. En plus de cela, quelques heures dans le jacuzzi, des repas improvisés, et beaucoup de rires. Je leur ai fait le coup du bus gratuit quand ils étaient fatigués, et ils continuent de croire qu’il y a des bus gratuits à Sydney… Au niveau des bouffes, il y avait donc des soirées à thème ! Lundi, Enzo nous faisait des pizzas, puis Mélodie avait préparé une tarte aux pommes dont on ne parlera pas des jours. Mardi, c’était Justin, le coréen, qui proposait un repas de son pays. Mercredi, enfin, Pepper nous faisait des sushis, elle m’a d’ailleurs appris à en faire par l’occasion. De mon côté, je me suis occupé du dessert de mercredi soir. Le chef vous proposait un moelleux au chocolat noir individuel, garni d’un milkshake à la banane, et un moelleux au chocolat blanc individuel, garni de milkshake à la fraise. Je crois avoir fait un carton ! J’étais assez fier de moi pour être honnête ! Jeudi soir, c’était chez Florent et Simon que j’étais convié. Une bonne petite soirée, en compagnie d’autres personnes, puis une virée à Kings Cross, où je ne suis resté qu’une dizaine de minutes ! Vendredi enfin, veille du match de rugby, c’était le dernier soir de Juliette. Alors, après le boulot, nous sommes allés boire un verre. Je lui avais promis qu’elle finirait mal la soirée, je pense qu’elle n’était pas au mieux en allant au lit. Il fallait qu’elle profite à fond de cette dernière soirée en Australie. C’était ça, l’histoire des départs. Bertrand et Aurélie, que j’espère vraiment revoir en France (Oui, car Bertrand est supporter de l’ASM en rugby, donc il me fait rire à me parler des finales du championnat de France, j’en encore envi d’en entendre parler…) se sont donc envolés vendredi après midi. Juliette, de son côté, à rejoins Limoges samedi après midi. Deux départs… et un retour. Celui de Luce, qui après un mois aux Etats Unis a été rattrapée par la raison de revenir dans la plus belle ville au Monde. Sydney, ses asiatiques, ses bus bondés, ses nuits froides, ses ciels nuageux et ses bruits nocturnes, c’est mieux que New York et son shopping prépayé ! D’ailleurs, j’ai eu le droit à des cadeaux pour mon anniversaire de la part de Luce. Deux t-shirts et une casquette des Yankees, le club de Baseball de la ville. Alors merci, et par la même occasion souhaitons lui un joyeux anniversaire, elle qui vient d’arroser ses 23 printemps.


















PROLONGATIONS

Vidéo de la semaine : Une leçon de cuisine digne de Joel Robluchon, pour vous apprendre cette semaine à comment cuisiner des sushis proprement. J’ai été aidé bien entendu par Pepper, et je la remercie pour le coup de main. J’étais plutôt satisfait pour une première expérience de ce style !








Phrase de la semaine : « Je ne mange pas devant Michel Drucker mais quand même ». De moi-même, cette phrase signifie que je ne mange pas tôt le soir, mais faut pas non plus attendre 22H pour passer à table ! Car je trouvais qu’on mangeait un poil tard !









Photo de la semaine : Bertrand m’a appris, à l’aide de son reflex, à faire ce genre de photos original. Il suffit d’avoir un appareil adapté (Papa tu en as un…), et de faire une photo de nuit, mais une photo d’une vingtaine de secondes. Avec une torche, vous écrivez ce que vous voulez, et c’est dans la boite. J’en ai profité pour vous passer un mot comme vous le voyez sur la photo…







Invité de la semaine : Juliette, Aka Juju, 23 ans, Limoges

Interview réalisé le jeudi 20 août à l’appartement.

Juliette, pour débuter, présente toi en quelques mots s’il te plait.
Alors bonjour à tout le blog de Nono. Je m’appelle Juliette, j’ai 23 ans et je suis originaire de Panazol. Je suis en Australie depuis janvier, et je pars dans deux jours. Je viens de terminer mes études d’acheteur et je cherche actuellement un boulot sur Paris dans ma branche. J’aime bien, euh rien !

Juliette, parle-nous de ton aventure, qui se termine donc bientôt !
Alors, ce fut une aventure exceptionnelle. Je ne regrette pas d’être partie. Je pense avoir grandi, et avoir appris beaucoup de choses, notamment sur moi-même. Malheureusement, la fin est proche, mais c’était vraiment très bien. Je le conseille à toute personne ayant besoin d’air, et d’aventures. En arrivant ici, j’ai cherché du boulot, j’ai bossé durant trois mois à Sydney puis j’ai migré vers Brisbane pour faire jeune fille au pair. Là bas, je me suis occupé d’un petit garçon de 18 mois vraiment adorable (l’enfant est mort apparemment.) Il mangeait mes tongs, mais tant pis. Ensuite, j’ai consacré un mois au voyage. Une semaine en Nouvelle Zélande et aux Fidji avec Monsieur Arnaud. Puis je suis parti à Alice Springs et Uluru.

Quels sont tes projets à ton retour en France ?
Enfin pouvoir démarrer cette vie de jeune actif, en s’inscrivant d’abord à l’ANPE. Si quelqu’un connait un truc pour moi, je suis preneuse, mais que sur Paris ! Il faut que je remplisse mes comptes avant de migrer d’ici un an ou deux pour le Canada ou les Etats Unis.

Raconte-nous désormais notre meilleur souvenir (hors engueulade).
C’est la journée à Queenstown où nous avons visité la ville ensemble. C’était vraiment sympa, on a bien parlé, on a bien rigolé, tout en découvrant une ville très jolie.

Dernière question, après sept mois ici, peux-tu nous dire des mots en anglais ?
Fuck off !! Non je rigole ! Euh un truc en anglais ? Je sais pas, je n’ai pas d’idée. (Nous remarquons ainsi les progrès immense de Juliette en anglais !)
I’m so sad to come back France, and I hope I will come back in Australia, or New Zealand, soon !