A sept jours du départ, voilà les deux sentiments et sensations qui m'habitent. De l'excitation évidente à une petite semaine du début d'un périple qui s'annonce génial et humainement immense. Du stress au fil des jours car chaque journée passée rime désormais avec un "au revoir, à bientôt, je t'écrirais".
Mais peu importe, personne ne m'a forcé à partir, alors je dois partir confiant et souriant. Les dernières courses seront faites probablement demain ou dans la semaine. En attendant, ma tendre maman m'a offert un appareil photo numérique pour noël, avec de l'avance certes, mais je te pose deux questions:
- Pourquoi partir en Australie sans appareil?
- Tu crois vraiment que je vais recevoir des colissimos le 25 décembre?
Bref, sinon les besoins vitaux tels que médicaments, trucs pour les yeux et autres lunettes de soleil (on a dit "Utile" Arnaud!) sont désormais entre de bonnes mains. Les valises ne demandent plus qu'à être remplie, et mes jambes ne demandent plus qu'à marcher sur un sol inconnu. Alala, tout se mélange, tout se précipite, mais je pense que je suis définitivement prêt au grand départ!
- Pourquoi partir en Australie sans appareil?
- Tu crois vraiment que je vais recevoir des colissimos le 25 décembre?
Bref, sinon les besoins vitaux tels que médicaments, trucs pour les yeux et autres lunettes de soleil (on a dit "Utile" Arnaud!) sont désormais entre de bonnes mains. Les valises ne demandent plus qu'à être remplie, et mes jambes ne demandent plus qu'à marcher sur un sol inconnu. Alala, tout se mélange, tout se précipite, mais je pense que je suis définitivement prêt au grand départ!
Un programme chargé désormais cette semaine, la dernière avant le départ, programmé donc dimanche, à 22H10. En résumé, resto avec mon Duo lundi, repas et ciné avec Aurore mardi, "week end" à Paris mercredi et jeudi avec mon coloc, Vincent, Maggy et Zozo puis Kentin et Ludo vendredi soir je pense, valises vendredi et samedi, resto samedi soir avec la famille, dimanche téléfoot puis départ vers Roissy. Ouch! Mais peu importe le flacon, du moment qu'on ai l'ivresse. Et l'ivresse sera pour moi de dire au revoir à tous ses gens que j'aime, malgré un fort pincement au cœur. Un cœur qui battra encore et toujours plus vite dans une semaine, soit sept jours, soit 168 heures, soit 10080 minutes, soit... oh c'est bon c'est relou quoi!
What else? Rien de spécial, sinon que je me plais à lire ce qu'il se passe pour ma petite Laetitia qui se débrouille bien (ici) , et que je parle à des personnes qui prendront le même vol que moi, donc c'est cool on pourra peut-être voyager ensemble et ne pas être trop isolé une fois là bas. J'ai envi de voir Sydney, j'ai envi de m'envoler, j'ai envi de convoler, j'ai envi de m'amuser... Mais j'ai pas envi de dire au revoir... Nostalgique? Just a little bit...